Une sylviculture proche de la nature, un écosystème forestier multifonctionnel et une économie forestière et du bois performante sont essentiels à cet égard. Point controversé : les auteurs de l'étude accordent plus d'importance à la séquestration du CO2 dans les forêts suisses qu'au puits de carbone que représente le bois et à la substitution d'autres matériaux par le bois.

IBS critique le fait que l'étude ne mentionne l'influence du changement climatique sur le développement forestier qu'à la fin, dans une note marginale. Les forêts endommagées par les tempêtes et les calamités réduisent leurs réserves de bois et donc leur capacité de stockage du CO2. IBS soupçonne donc que l'effet puits de carbone futur de la forêt a été surestimé dans l'étude. IBS remet donc fortement en question les résultats de la recherche et la conclusion de l'étude.

Vers la publication de l'OFEV